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Laurent Vidal : "Être au top""Pour être au top début août je n'ai jamais misé (et ne miserai pas) sur une recette miracle hasardeuse mais sur un travail de management (périodisation) où tous les détails comptent, sur une connaissance de mon sport, de mes adversaires, sur une constante prise de risque et sur mon expérience..." "Une journée-type, je vais faire du vélo pendant près de deux heures, après je vais nager entre cinq et six kilomètres et le soir, je cours entre 15 et 20 km", détaille-t-il, avec une décontraction déconcertante. "C'est un sport d'endurance, assez exigeant. Ce que les gens voient aux Jeux olympiques, cela reste juste une course. Mais il faut savoir que derrière, il y a parfois dix, quinze ans de préparation. Dans ce sport, rien n'est le fruit du hasard" "Ce que j'apprécie le plus dans ce sport, c'est qu'on est toujours dans le milieu naturel. On s'entraîne en mer, on court et on fait du vélo dans les forêts" "Ce qui fera la différence aux JO, c'est moins le potentiel physique physiologique que la capacité de récupération et le mental" Pour plus d'informations : - Site Internet de Laurent Vidal - Article "Laurent Vidal, triathlète depuis toujours" - Article d'Agir en Picardie "Laurent Vidal, en quête du graal olympique" A consulter aussi
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