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L'édito de Lionel Herbet du jeudi 9 août 2012On s'est donc posé la question suivante: erreurs des juges ce qui après tout peut arriver ou bien, magouilles et combines entre certains pays qui se liguent contre d'autres. Pour VASTINE et OUBAALI, pas de doute: les juges sont malhonnêtes. Deux anciens grands champions français se sont prononcés sur cette affaire: Louis ACARIES et Brahim ASLOUM. Tous deux ont un avis différent. ACARIES estime que depuis toujours, en boxe amateur, les mauvaises décisions ont existe. ASLOUM n'est pas d'accord et part du principe, que les boxeurs français sont visés et pénalisés. Et ASLOUM de s'interroger: mais où est le président de la Fédération Française de Boxe M. FURGONI? Ce dernier a été plutôt discret et n'a pas, semble-il, défendu ses boxeurs. La raison est simple: le président de la FFB a des ambitions sur le plan mondial. Et pour être élu, il ne faut surtout pas faire de vague et froisser les susceptibiltés de certains pays. N'empêche que ceux qui trinquent les premiers, ce sont d'abord les boxeurs. Quatre ans de travail se sont écroulés ... pour des clopinettes. Nous sommes malheureux pour VASTINE et OUBAALI. Maintenant, osons cette comparaison entre le nageur amiénois Jérémy STRAVIUS et le handballeur William ACCAMBRAY? Qu'ont-ils de commun? Rien si ce n'est le fait, qu'à un certain moment de la compétition, ils ont eu un rôle déterminant. STRAVIUS a contribué à la qualification pour les finales des relais. Quant à ACCAMBRAY qui n'avait disputé aucun match jusqu'à présent, restant sagement sur le banc, il a été appelé par ONESTA pour jouer contre l'Espagne. et cela a marché. ACCAMBRAY a crevé l'écran et permis à l'équipe de France de se qualifier pour les demi finales. Les Jeux Olympiques, ce sont souvent l'occasion pour nouer des contacts et faire de belles rencontres. Des rencontres parfois inattendues. C'est ainsi que les joueuses de l'équipe de France de football ont pu rencontrer durant une bonne heure la légende Carl LEWIS. Ce n'était certes pas une consolation après leur défaite cntre le Japon mais il n'y a vraiment que les Jeux pour offrir aux participants de tels échanges. Mais les Jeux Olympiques, c'est aussi pour certains, le moment de prendre la fille de l'air. Ainsi, la délégation camerounaise qui n'avait pas quarante représentants en a perdu sept d'un seul coup. > Ces sept athlètes ont en effet quitté le village olympique et depuis personne ne les a revus. Interrogé, le C I O répond que ces athlètes ont un visa qui court jusqu'à novembre. Alors, il ne faut pas s'inquiéter... Lionel Herbet A consulter aussi
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