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Hubert Louvet, la passion du cyclisme l'anime toujoursAu menu de cette émission, la longévité d'Hubert LOUVET et évidemment, les problèmes de dopage. Mathieu DUBRULLE a rappelé qu'Hubert LOUVET, originaire de Beaucamps le Vieux, était président du comité de Picardie depuis 1986. Une date qui coïncide sensiblement avec la création de Promotion Sport Picardie et surtout le renouveau du cyclisme picard avec le maillot jaune de Martial GAYANT dans le Tour de France et le titre tricolore des juniors régionaux dans l'épreuve sur route par équipes. A l'époque, le conseiller technique régional était Francis VAN LONDERSEELE qui ensuite est allé chez les professionnels avant de revenir dans le giron amateur puisque depuis le début de cette année, il est l'homme de confiance du président au sein du comité de Picardie. Hubert LOUVET a insisté sur la passion qui l'anime, une passion qui ne s'est jamais atténuée au fil des années. Souvent critiqué, le président est toujours parvenu à faire le consensus sur sa personne et on le voit par exemple avec Jacky CREPIN qui fut, voici quelques années, un adversaire implacable avant de devenir son allié. Parmi les intervenants, Me CREPIN, l'avocat d'Abbeville, grand amoureux du cyclisme a déclaré « qu'il avait une vision positive du cyclisme picard qui a apporté de grands champions. On sent une vraie passion pour ce sport quand on roule le dimanche matin ». Notre confrère Antoine BAREGE de France Bleu Picardie est quant à lui confiant pour l'avenir : « Oui, le cyclisme a été sali mais il reste encore aujourd'hui, le sport le plus contrôlé au monde. Mais il faut croire qu'aujourd'hui, il y a un cyclisme propre ». Hubert LOUVET a évoqué aussi ses missions au niveau de la Fédération française. Il siège au bureau exécutif et au comité fédéral. Il lui arrive de remplacer Marc MADIOT et d'aller un peu partout en France porter la bonne parole. Il a aussi ajouté qu'en ce qui concerne le dopage, la FFC et les comités régionaux intervenaient surtout au niveau des jeunes. C'est une œuvre de prévention qui doit inciter les parents à amener leurs enfants vers ce sport. Et de rappeler que procéder à un contrôle anti-dopage n'était pas préconisé par la FFC ou le comité de Picardie mais par l'Agence Française de Lutte contre le Dopage. A ce titre, les organisateurs de courses doivent payer pour la lutte contre le dopage. Ainsi, PSP devra débourser la somme de 800 euros à l' U C I. Lionel HERBET A consulter aussi
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